Qui est Elena Danaan et quelle est sa formation académique?

​Extraits traduits en français de la page biogaphique

du site web d'Elena Danaan​

 

Nom légal et lignées

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« Née à Marseille, dans le sud de la France, d'un père grec (le joueur de football professionnel Adonis « Tony » Zacharias) et d'une mère franco-scandinave (Gotland) (Christiane Pallu-Danaan), Elena a grandi comme une enfant très médium, étrangère à son environnement. Douée pour toutes sortes d'expressions artistiques, très intuitive et dotée de capacités extrasensorielles, elle a su dès le départ qu'elle n'avait pas sa place dans une société étroite et pleine de jugements. Très tôt, Elena a commencé à dévorer des livres sur la science et le paranormal, malgré les brimades de ses camarades d'école. Elle a toujours su qu'elle n'était pas d'ici.
 

[...] Elena a hérité de deux lignées fortes de sa mère biologique : la lignée royale de Magdalene par son grand-père français et la lignée Saami-Nordique par sa grand-mère Gotlandaise, Marie Danaan, dont elle a pris le nom après le décès de son père, devenant légalement Elena Danaan pour embrasser cet héritage génétique comme un chemin spirituel.

Elena a été formée dès son plus jeune âge au travail énergétique et à la divination par les Tarots et les Runes. Cette formation lui a été donnée par sa grand-mère, Marie Danaan, véritable voyante « Vølve » et shamanka.

Ce nom de famille, « Danaan », donné par sa grand-mère maternelle, comme porté par les femmes sages de la lignée Gotlandaise de sa famille, vient de l'île mythique au milieu de la mer Baltique, Gotland. On dit qu'elle est peuplée d'une race d'êtres magiques qui ont donné aux Tuatha De Dannan les outils enchantés pour combattre les Ténébreux. C'est de là que vient l'héritage chamanique d'Elena, qui explique sa capacité naturelle à voyager facilement et en toute sécurité à travers les dimensions et les domaines de la conscience. »

Égyptologie, archéologie & épigrahie: études supérieures et formation aux Beaux-Arts

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« Dans le sud de la France, ces années-là, il n'y avait pas de possibilité d'étudier  l'astrophysique, ni même l'archéologie, la deuxième passion d'Elena. Si on ne peut pas trouver dans les étoiles, on peut peut-être trouver dans le passé ».

La seule option était une école d'art. Lorsqu'elle a atteint l'âge de 18 ans et qu'elle a pu quitter le domicile familial, Elena a déménagé dans la capitale afin de terminer ses études d'art à l'École nationale des beaux-arts. Elle a vécu pendant 13 ans à Paris, où elle a également décidé d'entrer à l'Université d'archéologie du Louvre et de suivre une spécialisation en égyptologie à l'Institut Kheops.

De 1996 à 1998, Elena a suivi des formations au Caire, en Égypte, à l'Institut Français d'Archéologie Orientale. C'est alors qu'elle rencontre le Dr Zahi Hawass, qui lui propose un stage sur le plateau de Gizeh. A cette occasion, elle est emmenée dans l'entrée des "Salles des Registres" sous le Sphinx.

En 1999, Elena se voit accorder par le ministère français de la Culture une bourse d'un an à Karnak, Louxor, pour le Centre Franco-Égyptien d'Études des Temples de Karnak (CFEETK).

Après une année d'expérience dans le domaine de l'archéologie et de l'épigraphie à Karnak, Elena s'est vue proposer une deuxième année de stage pour présenter l'entrée au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) en tant que fonctionnaire, et à l'issue de cette période, présenter l'entrée au poste d'ingénieur en épigraphie. Ce qu'elle réussit.

Pendant 8 ans, Elena a vécu à Louxor, travaillant principalement à Karnak mais aussi affectée à des missions sur divers autres sites, tels que la Vallée des Rois, la Vallée des Nobles, Alexandrie, Le Caire, Dendérah et des sites mineurs en Haute Egypte et dans les Oasis de l'ouest.

Dans le temple d'Hathor à Dendérah, Elena a été formée et initiée de manière inattendue à la magie égyptienne ancienne, à l'occasion de trois missions d'épigraphie dans ce temple, lorsque le chercheur en chef a reconnu qu'elle avait de grandes capacités cognitives. On lui a appris comment le son et l'intention, cryptés dans des formules hiéroglyphiques, pouvaient affecter l'hologramme de la réalité et changer le cours des événements. C'est là qu'elle a expérimenté pour la première fois le pouvoir de la force universelle. À son retour à Karnak, tout a changé car elle a compris ce qu'était vraiment la magie : une science capable de lever le rideau des illusions et d'appréhender les forces réelles de l'univers. Chacun de nous est un vortex ; nous avons tous accès à cette connaissance et à ce pouvoir, lorsque nous réalisons qui et ce que nous sommes vraiment.

En 2003, Elena est nommée à la tête du laboratoire d'épigraphie de la mission franco-égyptienne de Karnak, à Louxor. Elle est chargée de diriger les projets de relevés épigraphiques et d'assurer la formation des étudiants en français, en anglais et en arabe, qu'elle parle couramment. Elena consacre son temps libre aux familles égyptiennes locales avec lesquelles elle s'est liée d'amitié, étudiant la culture et les traditions arabes et coptes égyptiennes. Parler le dialecte local était un excellent moyen de se faire des amis, en particulier des femmes avec lesquelles elle pouvait partager des secrets intimes.

Tous les travaux et publications sont disponibles sous le nom de naissance d'Elena : Helena Zacharias (+Delaporte comme nom d'ex-mari), dans les archives du CFEETK (Centre franco-égyptien de recherche sur les temples de Karnak) et de l'IFAO (Institut français d'archéologie orientale - Le Caire). »

 

Un échantillon des nombreux autres documents et publications de recherches académiques auxquelles Elena Danaan a participé sont disponible plus bas.